Book cover

CRÉDITS

La Contessa di Karolystria

Book cover

Read by Riccardo Fasol for LibriVox in 2007.

Capitolo I.

Caracollando leggiadramente sulla groppa di una puledra maltese, in sul cadere di una splendida giornata di ottobre, la contessa Anna Maria di Karolystria traversava la foresta di Bathelmatt.

En chevauchant gracieusement sur le dos d’une pouliche maltaise, à la fin d’une belle journée d’octobre, la comtesse Anna Maria de Karolystria traversait la forêt de Bathelmatt.

La contessa, contando di arrivare a Borgoflores poco dopo il tramonto, era partita dal suo castello alle due del pomeriggio.

La comtesse, prévoyant d’arriver à Borgoflores peu après le coucher du soleil, était partie de son château à deux heures de l’après-midi.

La città non era discosta, e la brava puledra, dopo quattro ore di marcia forzata, trottava ancora di lena colla foga baldanzosa dei suoi quattro anni.

La ville n’était pas loin, et la brave pouliche, après quatre heures de marche forcée, trottait toujours avec aisance, avec l’énergie de ses quatre ans.

Quand'ecco, al cominciare di un'erta, tre figuraccie da metter la terzana al vederle, sbucano all'improvviso dai grossi tronchi degli alberi.

Quand, au début d’une pente raide, trois silhouettes grotesques, qui donnaient à voir un spectacle peu recommandable, surgirent soudainement des gros troncs d’arbres.

—Alto là! grida una voce da toro.

— Arrête ! cria une voix de taureau.

Uno dei tre figuri pianta una grinfa tra le nari della cavalla; l'altro appunta una rivoltella al petto della vezzosa cavalcatrice; il terzo, afferrando la contessa al polpaccetto di una gamba, la trae con poco garbo di sella slanciandola a dieci passi dalla strada maestra.

L’un des trois individus planta une corde entre les narines de la jument ; l’autre pointa un revolver sur la poitrine de la cavalière ; le troisième, saisissant la comtesse par le mollet d’une jambe, la retira sans ménagement de la selle et la projeta à dix pas de la route principale.

Di là a dieci minuti, non rimaneva più nella foresta di Bathelmatt che una gentilissima figura di donna nuda, una formosa statua di alabastro vivente, che i ladri avevano spogliata di ogni superfluità signorile.

Dix minutes plus tard, il ne restait plus dans la forêt de Bathelmatt qu’une très belle silhouette de femme nue, une belle statue d’albâtre vivant, que les voleurs avaient dépouillée de tout superflu de noblesse.

Quei mascalzoni avean spiumata la contessa dei gioielli, delle vesti, delle lingerie, non rispettando che un bel paio di calzettine traforate e due elegantissimi stivaletti, armati di speroncini.

Ces scélérats avaient dépouillé la comtesse de ses bijoux, de ses vêtements, de sa lingerie, ne respectant que de belles chaussettes percées et de très beaux petits souliers, armés de pointes acérées.

—Che buoni ladri! che ladri discreti!—

— Quels bons voleurs ! Quels voleurs discrets ! —

Non calunniamoli.

Ne les calomnions pas.

Se non presero tutto; se fuggirono col grosso del bottino senza darsi la pena di scalzare il più bel modello di caviglia che mai uscisse dalle mani della natura, gli è che al momento in cui si accingevano a tagliare i legacci, i tre briganti erano stati sgomentati e posti in fuga dallo scalpito di un cavallo accorrente.

S’ils n’ont pas tout pris, s’ils ont fui avec le gros du butin sans se donner la peine de déshabiller le plus beau modèle de cheville jamais sorti des mains de la nature, c’est que, au moment où ils s’apprêtaient à couper les liens, les trois brigands ont été effrayés et mis en fuite par le galop d’un cheval accourant.

Un cavallo, che sopraggiunge di trotto verso il luogo dove fu consumata una aggressione, apparisce sempre, nell'ombrosa fantasia dell'aggressore, sormontato da un carabiniere.

Un cheval qui arrive au galop sur le lieu où une agression a été commise apparaît toujours, dans l’imagination sombre de l’agresseur, surmonté d’un carabinier.

Frattanto, la bella contessa era rimasta là.... ho già detto in qual semplice abbigliamento....

Pendant ce temps, la belle comtesse était restée là... je l’ai déjà dit dans un simple vêtement...

Dite un po', signorina, che fareste, se mai vi capitasse, e Iddio ve ne guardi, di cadere in una situazione identica a quella della nostra graziosa eroina?...

Dites-moi, mademoiselle, que feriez-vous, si jamais cela vous arrivait, et que Dieu vous en préserve, de vous retrouver dans une situation identique à celle de notre charmante héroïne ?...

Nuda come una Venere classica, nel mezzo di una foresta, ai lumi di un tramonto fosforescente, mentre un cavallo, probabilmente raddoppiato da un cavaliere, si avanza a galoppo concitato!...

Nue comme une Vénus classique, au milieu d’une forêt, aux lumières d’un coucher de soleil phosphorescent, tandis qu’un cheval, probablement doublé d’un cavalier, s’avance au galop !...

Fuggire.... Via! si vede che non avete pratica di foreste. Non sapete che le foreste son piene di ginepri e di vepri, i quali rimano perfettamente e pungono anche maledettamente le carni?

S’enfuir... Allons ! On voit bien que vous n’avez pas l’habitude des forêts. Vous ne savez pas que les forêts sont pleines de genévriers et d’ours, qui restent parfaitement et piquent même terriblement la chair ?

Celarsi dietro un grand'albero, attendere che il cavallo e il cavaliere passino oltre.... Ma, poi?

Se cacher derrière un grand arbre, attendre que le cheval et le cavalier passent... Mais, ensuite ?

Riflettete, carina; cioè, riflettiamo....

Réfléchissez, ma chère ; c’est-à-dire, réfléchissons...

Nel caso della contessa non è in gioco soltanto la pudicizia.... Il giorno va imbrunendo.... tra un'ora farà notte... e una dama avvezza al morbidume dei lini non può adattarsi a dormire in un bosco. Se un lupo.... se un orso.... Che orrore!

Dans le cas de la comtesse, il n’est pas seulement question de pudeur... Le jour s’assombrit... dans une heure, il fera nuit... et une dame habituée à la douceur des lins ne peut pas s’adapter à dormir dans une forêt. Si un loup... si un ours... Quelle horreur !

Ma la contessa era dotata di molto acume pratico. Misurando in un lampo le eventualità della sua posizione, ella non tardò un istante a comprendere che quel cavallo, o piuttosto quel cavalcatore che moveva alla sua volta, era forse l'angelo di salvezza inviatole dalla provvidenza.

Mais la comtesse était dotée d’un grand sens pratique. En évaluant rapidement les possibilités de sa situation, elle ne tarda pas un instant à comprendre que ce cheval, ou plutôt ce cavalier qui le montait, était peut-être l’ange de salut envoyé par la providence.

Innanzi tutto, pensò ella, vediamo di prendere un atteggiamento che ci permetta di presentarci ad un essere della nostra specie senza troppo compromettere la pudicizia!

Tout d’abord, pensa-t-elle, voyons si nous pouvons adopter une attitude qui nous permettrait de nous présenter à un être de notre espèce sans trop compromettre la pudeur !

Il terreno, come accade in ogni foresta al finire dell'autunno, era sparso di foglie. Lode. all'Altissimo! Non casca foglia che Dio non voglia!

Le terrain, comme c’est le cas dans toute forêt à la fin de l’automne, était jonché de feuilles. Gloire au Très-Haut ! Pas une feuille ne tombe que Dieu ne le veuille !

E appena esalata la giaculatoria, la contessa adunò rapidamente colle sue braccia candidissime un bel mucchio di quella grazia di Dio piovuta dagli alberi, vi si tuffò, vi si sommerse, si rese invisibile.

Et dès qu’elle eut prononcé cette prière, la comtesse rassembla rapidement de ses bras très blancs un beau tas de cette grâce de Dieu tombée des arbres, s’y plongea, s’y immergea, se rendit invisible.

—Opp! Opp! avanti dunque! È la prima volta che mi fai di questi scherzi, Morello! Opp! Opp!

—Oh ! Oh ! Allons donc ! C’est la première fois que tu me joues ces tours, Morello ! Oh ! Oh !

È altresì la prima volta che Morello, il. bel puledro del visconte D'Aguilar, aspira colle sue ampie narici le esalazioni più o meno balsamiche di una contessa sepolta nelle foglie.

C’est également la première fois que Morello, le beau poulain du vicomte D’Aguilar, aspire avec ses larges narines les exhalations plus ou moins balsamiques d’une comtesse enfouie dans les feuilles.

Il visconte, balzato di sella, prese a carezzare amorosamente l'ombroso animale, apostrofandolo coi più graziosi vezzeggiativi.

Le vicomte, sautant de selle, commença à caresser amoureusement l’animal ombragé, l’adressant les plus jolis mots d’affection.

—È un gentiluomo! riflette la contessa, sollevando cautamente la testolina per sbirciare a traverso gli arbusti.

—C’est un gentleman ! réfléchit la comtesse, soulevant prudemment sa petite tête pour regarder à travers les buissons.

Ma il cavaliere, già entrato in diffidenza all'adombrarsi di Morello, udendo stormire le foglie, e parendogli che sotto quelle si disegnassero i contorni di una figura umana, fece l'atto di scompigliarle collo scudiscio.

Mais le cavalier, déjà méfiant à l’approche de Morello, entendant bruire les feuilles, et lui semblant dessiner les contours d’une figure humaine, fit l’action de les éparpiller avec son éperon.

Immaginate se la contessa potè star ferma!

Imaginez si la comtesse pouvait rester immobile !

—Alto là!

—Attends un peu !

gridò ella, dando un balzo, che mise allo scoperto il suo bel volto e le sue spalle di nitido alabastro; se voi siete, quale ognuno vi giudicherebbe all'aspetto, un gentiluomo ed un uomo di cuore, non avanzatevi di un passo; rispettate e proteggete una dama di alto lignaggio, che non poteva, voi lo vedete, cadere più basso.

s’écria-t-elle, faisant un bond qui révéla son beau visage et ses épaules d’albâtre nettes ; si tu es, comme chacun te jugerait à ta vue, un gentleman et un homme de cœur, ne fais pas un pas de plus ; respecte et protège une dame de haute lignée, qui ne pouvait, tu le vois, tomber plus bas.

Il visconte, immobile come un paracarro, guardava e taceva.

Le vicomte, immobile comme un paracarro, regardait et se taisait.

Ma poichè la contessa gli ebbe narrati i particolari della disavventura che l'aveva tratta al mal partito,—Signora!

Mais comme la comtesse lui avait raconté les détails de la mésaventure qui l’avait conduite au malheur, —Madame !

esclamò egli coll'accento vibrato dei suoi impulsi generosi: io mi terrei il più sciagurato, il più vile dei mascalzoni se un pensiero che non fosse quello di compiere ogni maggior sacrificio per liberarvi dalla vostra falsa posizione, potesse formarsi nella mia mente.

s’exclama-t-il avec l’accent vibrant de ses impulsions généreuses : je me tiendrais pour le plus malheureux, le plus vil des scélérats si une pensée autre que celle de faire tous les plus grands sacrifices pour vous libérer de votre fausse position pouvait se former dans mon esprit.

A me pare che la vostra necessità più urgente sia quella di mettervi in una veste meno scucita.

Il me semble que votre besoin le plus urgent est de vous mettre dans une tenue moins débraillée.

Se non vi ripugna di indossare i miei abiti, io ve li offro; e al tempo istesso vi do parola che io non sarò mai per volgere gli occhi dal vostro lato fino, a quando voi non vi siate completamente abbigliata delle mie spoglie.

Si cela ne vous déplaît pas de porter mes vêtements, je vous les offre ; et en même temps je vous donne ma parole que je ne détournerai jamais les yeux de votre côté jusqu’à ce que vous soyez complètement vêtue de mes habits.

—Ma... voi... signore?...

—Mais... toi... monsieur ?...

—Non prendetevi pensiero di me. Affrettiamoci! Eccovi il mio soprabito... eccovi il mio gilet... i miei calzoni...

—Ne t’inquiète pas de moi. Allons vite ! Voilà mon manteau... voilà mon gilet... mes pantalons...

—Signore!... È troppo!... È una indecenza!... voi dimenticate di essere in presenza di una signora...

—Monsieur !... C’est trop !... C’est une indécence !... tu oublies que tu es en présence d’une dame...

Ma il visconte, colla focosa inconsideratezza dei generosi che si sacrificano, in un attimo si era spogliato.

Mais le vicomte, avec l’impétueuse inconsidération des généreux qui se sacrifient, s’était déshabillé en un instant.

Frattanto la contessa, dopo essersi abbottonato sulle carni quanto poteva occorrerle di vestimento per scattare meno indecorosamente dalla nuvola di foglie dove si teneva rattrappita, drizzandosi della persona e facendo della mano una visiera agli occhi, ripigliava con accento mite e supplichevole:

Entre-temps, la comtesse, après s’être boutonnée sur le corps autant de vêtements qu’il lui fallait pour sortir moins indécemment de la nuée de feuilles où elle s’était réfugiée, se redressant et faisant de sa main un pare-soleil à ses yeux, reprenait avec un accent doux et suppliant :

—Via!

—Viens !

poichè volete essere il mio angelo liberatore, fate, o signore, ch'io non sia costretta ad arrossire di aver accettata la vostra protezione!

car tu veux être mon ange délivreur, fais, monsieur, que je ne sois pas forcée de rougir d’avoir accepté ta protection !

Mettetevi là...

Mets-toi là...

(e additava il giaciglio dal quale poco dianzi si era levata).

(et elle indiquait le matelas d’où elle s’était levée un peu auparavant).

Io non avrò mai coraggio di intavolare una seria conversazione con voi, se prima....

Je n’aurai jamais le courage d’engager une conversation sérieuse avec toi, si d’abord...

La contessa non ebbe tempo di compiere la frase, che già il visconte si era tuffato fino al collo nel fogliame, esclamando:

La comtesse n’eut pas le temps d’achever sa phrase, car le vicomte s’était déjà plongé jusqu’au cou dans la verdure, en s’exclamant :

—Eccomi agli ordini vostri!

—Me voilà à tes ordres !

—Voi siete un gentiluomo modello! esclamò la dama coll'accento della ammirazione più enfatica; e in presenza di tanta abnegazione, di tanto eroismo, quasi mi sento umiliata di avere con tanta precipitazione accettato le vostre profferte.

—Tu es un gentleman modèle ! s’exclama la dame avec un accent d’admiration très marqué ; et en présence d’un tel abnégation, d’un tel héroïsme, je me sens presque humiliée d’avoir accepté si précipitamment tes offres.

—Signora, interruppe il visconte con voce rotta dai brividi, la notte incalza, il bosco è freddo, il letto punge, le lenzuola non sanno di bucato; convien dunque avvisare subito ai mezzi per trarci entrambi di imbarazzo.

—Madame, interrompit le vicomte d’une voix tremblante, la nuit s’avance, la forêt est froide, le lit pique, les draps ne sentent pas le linge propre ; il faut donc prendre dès maintenant des mesures pour nous éviter tous les deux un embarras.

Montate sul mio cavallo e partite!

Monte sur mon cheval et parte !

In meno di un quarto d'ora sarete alle porte di Borgoflores.

En moins d’un quart d’heure, tu seras aux portes de Borgoflores.

Nelle tasche del mio soprabito che indossate, v'è un portafoglio abbastanza colmo di banconote.

Dans les poches de mon manteau que tu portes, il y a un portefeuille assez rempli de billets de banque.

Con quel denaro voi potrete, appena giunta a Borgoflores, procacciarvi un abbigliamento conveniente al vostro sesso.

Avec cet argent, tu pourras, dès que tu seras arrivée à Borgoflores, t’acheter des vêtements convenables à ton sexe.

Appena ve ne sarete provveduta, voi non indugerete a rimandarmi i miei abiti a mezzo di persona fidata.

Dès que tu auras fait cela, tu n’hésiteras pas à me renvoyer mes vêtements par une personne de confiance.

Dalla sella del mio cavallo pendono due rivoltelle.

Deux revolvers pendent à la selle de mon cheval.

Una per me, l'altra per voi. Va bene così?...

Un pour moi, l’autre pour toi. D’accord ?...

Mi occorrerebbe ancora, per ingannare il tempo alla meglio, un buon sigaro di avana....

J’aurais encore besoin, pour passer le temps au mieux, d’un bon cigare d’Avana....

Nelle taschette del mio soprabito ne troverete di eccellenti...

Dans les poches de mon manteau, tu en trouveras d’excellents...

Favorite!...

Ma chère !...

Mille grazie...

Merci beaucoup...

Ora, non più indugi! Salite a cavallo, e partite di galoppo...

Maintenant, ne perdons plus de temps ! Monte sur ton cheval, et parte au galop...

Cioè... aspettate!...

C’est-à-dire... attends !...

Sarei io troppo indiscreto, o signora, se osassi, prima che ve ne andiate, di informarmi del vostro nome?

Serais-je trop indiscret, madame, si j’osais, avant que tu partes, de te demander ton nom ?

—Eccovi la mia carta di visita... Oh! la smemorata...! Cercava la mia carta nelle tasche del vostro soprabito... Ebbene: io mi chiamo Anna Maria contessa di Karolystria.

—Voici ma carte de visite... Oh ! la distraite !... Elle cherchait ma carte dans les poches de ton manteau... Eh bien : je m’appelle Anna Maria, comtesse de Karolystria.

Il visconte diede un balzo che proiettò sulla contessa una mitragliata di foglie.

Le vicomte fit un bond qui projeta sur la comtesse une pluie de feuilles.

—Avete pratica della cittadella di Borgoflores? domandò egli con qualche ansietà.

—As-tu déjà pratiqué la citadelle de Borgoflores ? demanda-t-il avec une certaine anxiété.

—Ci vado per la prima volta, signore.

—C’est la première fois, monsieur.

—Ebbene, smontate all'albergo della Maga rossa. Spero fra un'ora di raggiungervi, e di ridere un poco con voi della strana ventura che mi ha procacciato l'onore di conoscere... personalmente una signora, la cui fama era già pervenuta a me sulle ali della pubblica ammirazione.

—Eh bien, descends à l’hôtel de la Maga rossa. J’espère te rejoindre dans une heure, et rire un peu avec toi de l’étrange aventure qui m’a procuré l’honneur de connaître... personnellement une dame dont la renommée m’était déjà parvenue sur les ailes de l’admiration publique.

Di là a pochi istanti, perfettamente abbigliata e più che mai seducente sotto le flessuosità dell'abito virile, la contessa galoppava a briglia sciolta verso la cittadella.

Quelques instants plus tard, parfaitement vêtue et plus séduisante que jamais sous les plis de l’habit masculin, la comtesse galopait sans bride vers la citadelle.

Book cover

Capitolo I.

1.0×

TOUJOURS ACTIVÉ

Installez DiscoVox

Clique sur l'icône d'installation dans la barre d'adresse à droite, puis confirme.

Installe l'application

Rejoindre sur Discord